Chapitre 3
Les grandes retrouvailles.
Bon! Où j’en étais? Ah oui, je te disais que j’étais fier de moi car je n’ai rien acheté dans les boutiques de DVD. Tu sais que pour l’acheteur compulsif que je suis, c’est un exploit! Quoique j’ai vu des titres qui me tentait et que je suis pratiquement certain qu’on ne retrouvera jamais au Québec. Il y avait le film « Coluche, l’histoire d’un mec », puis « Camping » avec Frank Dubosc, ainsi que « Le petit poucet » d’Olivier Dahan d’après le conte de Charles Perrault (non, aucun lien de parenté avec Maryse!). Juste de te l’écrire je me demande pourquoi je ne les ai pas achetés! C’est bien moi ça! Puis après avoir les boutiques de DVD d’occasion, je me suis arrêté chez « Virgin le mégastore » un genre de grand Archambault. Là il y avait une vente de DVD, 10 euros le DVD ou 5 pour 30 euros, parmi un choix quand même assez restreint. J’en ai trouvé trois intéressants mais je n’ai pas trouvé 2 autres pour profiter de l’aubaine, donc je n’en ai pas acheté! Ensuite je suis allé à la FNAC, un genre de « Virgin le mégastore » mais en encore plus gros et là aussi il y avait le même spécial mais pas les mêmes titres. Là aussi, je n’en ai trouvé que trois et je n’en ai pas acheté. Avec tout ça, je n’ai pas vu le temps passer, c’est bientôt l’heure de mon train! Je prends un vélo et hop, direction la gare. Je suis arrivé 5 minutes avant le départ! OUF!
Lorsque j’arrive à la gare d’Agen pour prendre ma correspondance, on nous informe que le train arrivera avec 10 minutes de retard. Là encore c’est une première pour moi car de toutes les fois que j’ai pris le train en France, il était à l’heure. J’avais donc 25 minutes devant moi, je décide donc d’aller faire un tour dans la ville. J’ai juste traversé la rue en trainant ma valise que j’ai rebroussé chemin car le trottoir était tellement cahoteux que ma valise n’avançait pas. Tant pis, je lirais en attendant. Je me rends sur la voie 5 comme c’est indiqué sur le tableau indicateur puis j’attends. Au bout d’un moment, je vois un train sur la voie 3 qui est là depuis que je suis arrivé et qui ne pars pas. Je laisse ma valise sur le quai de la voie 5 qui est désert et je vais au quai de la voie 3 et je vois sur le train les gares qu’il desservira et je vois entre autre Belves, qui est ma destination! Je demande au chef de gare si c’est effectivement mon train et il me répond par l’affirmative. Je lui dis que sur le tableau indicateur c’était inscrit voie 5. Il répond avec un petit sourire moqueur « Mé noooon! Cé bieng la voie tRRRRois! ». Là j’ai perdu mon sang froid et je lui ai mis mon poing sur sa gueule de fendant. – Bon ok, la dernière phrase c’est dans ma tête qu’elle s’est passée mais il me semble que ça m’aurait fait du bien. Il y a quand bien même des limites à se faire traiter d’imbécile à mots couverts! – Comme le train était sur le point de partir je lui dis que je vais chercher ma valise que j’ai laissé sur la voie 5 (enfin sur le quai de la voie 5 mais je suis sûr que tu avais compris! Quoique si j’étais vraiment sûr, pourquoi te l’ai-je précisé?) et que je reviens. Encore une fois il était moins une, les portes se sont refermées derrière moi et le train est parti. Re-Ouf!
À mon arrivée à la gare de Belves, Daniel, un agriculteur célibataire dans la quarantaine, qui devait me conduire à Monpazier, était là qui m’attendait. Une chance que je n’étais pas dans mon film de la veille. Quinze minutes plus tard nous étions à la maison. Une fois la porte ouverte qui je vois devant moi? Cybelle! Ma belle Cybelle, ma fidèle compagne de voyage. Les retrouvailles comme chaque fois ont été… comment dirais-je… agréable? Je venais tout juste de m’insérer dans Cybelle pour qu’elle se mette à ronronner de plaisir. Hum! Elle est comme ça Cybelle, elle part toujours au quart de tour, toujours prête à partir. Mais pas tout de suite ma Cybelle, j’ai besoin de prendre une bonne douche et après, je te le promets, on sort ensemble. Finalement nous sommes allés à Bergerac car il n’y avait rien à manger à la maison et j’avais noté la veille qu’il y avait un film à 22h00.
J’ai mal calculé mon temps et une fois à Bergerac, je n’avais plus le temps d’aller manger chez Buffalo Grill donc j’ai dû me rabattre chez tu sais qui. Ronald était là qui m’attendait avec son grand sourire niaiseux. J’en ai profité pour tester s’il y avait la wi-fi et oui! Donc si la wi-fi est disponible au McDo de Bergerac normalement elle devrait être disponible dans tout les McDo de France! Ben coudonc, je pense que je vais m’y retrouver quelques fois au cours de ce voyage. J’ai commandé une salade césar au poulet et si tu avais vu les yeux de la caissière tu aurais pensé comme moi qu’elle regardait un ours polaire. Il a fallu que je lui répète ma commande et comme elle me regardait encore avec ses yeux de Jean-Luc Mongrain, je lui ai pointé du doigt la photo de la salade césar au poulet qui se trouvait juste derrière elle au-dessus de sa tête. « Ah!!! Une Tchikène Cizère Salèyde!!! » (Même le logiciel de correction de l’orthographe ne comprend pas!) qu’elle s’exclame. Ost%$/# de français à %$/ #! Même pas assez de couille pour traduire le %$/# de menu et même pas fichu savoir ce que veux dire les mots anglais qui le composent. Zen… il faut que je reste zen! Ma salade avalée, direction cinéma pour voir le film « Une semaine sur deux (et la moitié des vacances scolaire) ». Je ne ferai pas de long résumé, c’est presque un remake du film « La boum » des années 80 en moins réussi. À une heure du matin j’étais de retour à la maison et je n’ai pas été long à m’endormir.
À suivre…
Les grandes retrouvailles.
Bon! Où j’en étais? Ah oui, je te disais que j’étais fier de moi car je n’ai rien acheté dans les boutiques de DVD. Tu sais que pour l’acheteur compulsif que je suis, c’est un exploit! Quoique j’ai vu des titres qui me tentait et que je suis pratiquement certain qu’on ne retrouvera jamais au Québec. Il y avait le film « Coluche, l’histoire d’un mec », puis « Camping » avec Frank Dubosc, ainsi que « Le petit poucet » d’Olivier Dahan d’après le conte de Charles Perrault (non, aucun lien de parenté avec Maryse!). Juste de te l’écrire je me demande pourquoi je ne les ai pas achetés! C’est bien moi ça! Puis après avoir les boutiques de DVD d’occasion, je me suis arrêté chez « Virgin le mégastore » un genre de grand Archambault. Là il y avait une vente de DVD, 10 euros le DVD ou 5 pour 30 euros, parmi un choix quand même assez restreint. J’en ai trouvé trois intéressants mais je n’ai pas trouvé 2 autres pour profiter de l’aubaine, donc je n’en ai pas acheté! Ensuite je suis allé à la FNAC, un genre de « Virgin le mégastore » mais en encore plus gros et là aussi il y avait le même spécial mais pas les mêmes titres. Là aussi, je n’en ai trouvé que trois et je n’en ai pas acheté. Avec tout ça, je n’ai pas vu le temps passer, c’est bientôt l’heure de mon train! Je prends un vélo et hop, direction la gare. Je suis arrivé 5 minutes avant le départ! OUF!
Lorsque j’arrive à la gare d’Agen pour prendre ma correspondance, on nous informe que le train arrivera avec 10 minutes de retard. Là encore c’est une première pour moi car de toutes les fois que j’ai pris le train en France, il était à l’heure. J’avais donc 25 minutes devant moi, je décide donc d’aller faire un tour dans la ville. J’ai juste traversé la rue en trainant ma valise que j’ai rebroussé chemin car le trottoir était tellement cahoteux que ma valise n’avançait pas. Tant pis, je lirais en attendant. Je me rends sur la voie 5 comme c’est indiqué sur le tableau indicateur puis j’attends. Au bout d’un moment, je vois un train sur la voie 3 qui est là depuis que je suis arrivé et qui ne pars pas. Je laisse ma valise sur le quai de la voie 5 qui est désert et je vais au quai de la voie 3 et je vois sur le train les gares qu’il desservira et je vois entre autre Belves, qui est ma destination! Je demande au chef de gare si c’est effectivement mon train et il me répond par l’affirmative. Je lui dis que sur le tableau indicateur c’était inscrit voie 5. Il répond avec un petit sourire moqueur « Mé noooon! Cé bieng la voie tRRRRois! ». Là j’ai perdu mon sang froid et je lui ai mis mon poing sur sa gueule de fendant. – Bon ok, la dernière phrase c’est dans ma tête qu’elle s’est passée mais il me semble que ça m’aurait fait du bien. Il y a quand bien même des limites à se faire traiter d’imbécile à mots couverts! – Comme le train était sur le point de partir je lui dis que je vais chercher ma valise que j’ai laissé sur la voie 5 (enfin sur le quai de la voie 5 mais je suis sûr que tu avais compris! Quoique si j’étais vraiment sûr, pourquoi te l’ai-je précisé?) et que je reviens. Encore une fois il était moins une, les portes se sont refermées derrière moi et le train est parti. Re-Ouf!
À mon arrivée à la gare de Belves, Daniel, un agriculteur célibataire dans la quarantaine, qui devait me conduire à Monpazier, était là qui m’attendait. Une chance que je n’étais pas dans mon film de la veille. Quinze minutes plus tard nous étions à la maison. Une fois la porte ouverte qui je vois devant moi? Cybelle! Ma belle Cybelle, ma fidèle compagne de voyage. Les retrouvailles comme chaque fois ont été… comment dirais-je… agréable? Je venais tout juste de m’insérer dans Cybelle pour qu’elle se mette à ronronner de plaisir. Hum! Elle est comme ça Cybelle, elle part toujours au quart de tour, toujours prête à partir. Mais pas tout de suite ma Cybelle, j’ai besoin de prendre une bonne douche et après, je te le promets, on sort ensemble. Finalement nous sommes allés à Bergerac car il n’y avait rien à manger à la maison et j’avais noté la veille qu’il y avait un film à 22h00.
J’ai mal calculé mon temps et une fois à Bergerac, je n’avais plus le temps d’aller manger chez Buffalo Grill donc j’ai dû me rabattre chez tu sais qui. Ronald était là qui m’attendait avec son grand sourire niaiseux. J’en ai profité pour tester s’il y avait la wi-fi et oui! Donc si la wi-fi est disponible au McDo de Bergerac normalement elle devrait être disponible dans tout les McDo de France! Ben coudonc, je pense que je vais m’y retrouver quelques fois au cours de ce voyage. J’ai commandé une salade césar au poulet et si tu avais vu les yeux de la caissière tu aurais pensé comme moi qu’elle regardait un ours polaire. Il a fallu que je lui répète ma commande et comme elle me regardait encore avec ses yeux de Jean-Luc Mongrain, je lui ai pointé du doigt la photo de la salade césar au poulet qui se trouvait juste derrière elle au-dessus de sa tête. « Ah!!! Une Tchikène Cizère Salèyde!!! » (Même le logiciel de correction de l’orthographe ne comprend pas!) qu’elle s’exclame. Ost%$/# de français à %$/ #! Même pas assez de couille pour traduire le %$/# de menu et même pas fichu savoir ce que veux dire les mots anglais qui le composent. Zen… il faut que je reste zen! Ma salade avalée, direction cinéma pour voir le film « Une semaine sur deux (et la moitié des vacances scolaire) ». Je ne ferai pas de long résumé, c’est presque un remake du film « La boum » des années 80 en moins réussi. À une heure du matin j’étais de retour à la maison et je n’ai pas été long à m’endormir.
À suivre…
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