Chapitre 2
Comme au cinéma
Bon comme ça j’ai piqué ta curiosité en ne te disant pas quel film j’allais voir. Eh bien je ne te l’ai pas dit tout simplement parce que je ne me souvenais pas du titre au moment où je t’ai écrit. En fait, je suis allé voir le seul film français qu’il y avait à l’affiche dans les 2 cinémas du centre-ville de Toulouse, un film avec Sandrine Bonnaire et Kevin Kline. Il s’agit d’un film sur les échecs. Pas les échecs de la vie professionnelle ou sentimentale ni ceux que l’on pourraient avoir connus à l’école. Non c’est juste un film sur les échecs, le jeu. C’est l’histoire d’une femme de chambre (Sandrine Bonnaire) dans un hôtel en Corse qui cogne à la porte d’une chambre et comme personne ne répond, elle entre. Et là surprise, elle entend des petits rires coquins en provenance de la terrasse, elle s’approche et elle surprend un couple en train de jouer aux… échecs. La femme lui demande si elle sait jouer et comme elle répond par la négative, la conversation s’arrête là. Toutefois, la femme de chambre semble trouver quelque chose de sensuel là-dedans et n’arrête pas de les regarder jouer pendant tout le temps qu’elle fait le ménage dans la chambre. Une fois son travail terminé à l’hôtel elle se rend chez un docteur américain (Kevin Kline) chez qui elle fait aussi le ménage pour arrondir ses fins de mois. Et que voit elle en faisant le ménage ? Ben oui, tu as deviné, un jeu d’échec! Je te laisse deviner la suite ou tu iras voir le film si jamais il sort au Québec. Bon OK, c’est certain que la description que je te fais ne te donnera peut-être pas envie d’aller le voir mais c’est quand même un bon petit film. La preuve c’est que malgré le décalage horaire je n’ai jamais cogné des clous.
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Après le film, j’ai pris un vélo et je suis allé sur la place du Capitole. J’ai demandé à un couple de prendre une photo de moi sur le vélo avec le Capitole en arrière plan. C’était des québécois qui étaient arrivés eux aussi le jour même.. On a parlé de l’atterrissage qui ne s’est pas fait en douceur, et j’ai proposé au type d’essayer le vélo car il me posait plein de question. Il a accepté et a même voulu se faire prendre en photo lui aussi. J’ai proposé à sa femme de l’essayer aussi mais elle avait trop peur de se casser la gueule.
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.Comme au cinéma
Bon comme ça j’ai piqué ta curiosité en ne te disant pas quel film j’allais voir. Eh bien je ne te l’ai pas dit tout simplement parce que je ne me souvenais pas du titre au moment où je t’ai écrit. En fait, je suis allé voir le seul film français qu’il y avait à l’affiche dans les 2 cinémas du centre-ville de Toulouse, un film avec Sandrine Bonnaire et Kevin Kline. Il s’agit d’un film sur les échecs. Pas les échecs de la vie professionnelle ou sentimentale ni ceux que l’on pourraient avoir connus à l’école. Non c’est juste un film sur les échecs, le jeu. C’est l’histoire d’une femme de chambre (Sandrine Bonnaire) dans un hôtel en Corse qui cogne à la porte d’une chambre et comme personne ne répond, elle entre. Et là surprise, elle entend des petits rires coquins en provenance de la terrasse, elle s’approche et elle surprend un couple en train de jouer aux… échecs. La femme lui demande si elle sait jouer et comme elle répond par la négative, la conversation s’arrête là. Toutefois, la femme de chambre semble trouver quelque chose de sensuel là-dedans et n’arrête pas de les regarder jouer pendant tout le temps qu’elle fait le ménage dans la chambre. Une fois son travail terminé à l’hôtel elle se rend chez un docteur américain (Kevin Kline) chez qui elle fait aussi le ménage pour arrondir ses fins de mois. Et que voit elle en faisant le ménage ? Ben oui, tu as deviné, un jeu d’échec! Je te laisse deviner la suite ou tu iras voir le film si jamais il sort au Québec. Bon OK, c’est certain que la description que je te fais ne te donnera peut-être pas envie d’aller le voir mais c’est quand même un bon petit film. La preuve c’est que malgré le décalage horaire je n’ai jamais cogné des clous.
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Après le film, j’ai pris un vélo et je suis allé sur la place du Capitole. J’ai demandé à un couple de prendre une photo de moi sur le vélo avec le Capitole en arrière plan. C’était des québécois qui étaient arrivés eux aussi le jour même.. On a parlé de l’atterrissage qui ne s’est pas fait en douceur, et j’ai proposé au type d’essayer le vélo car il me posait plein de question. Il a accepté et a même voulu se faire prendre en photo lui aussi. J’ai proposé à sa femme de l’essayer aussi mais elle avait trop peur de se casser la gueule.
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Ensuite je suis allé à mon hôtel et non, je n’ai pas croisé la femme de chambre, j’ai pris une bonne douche et j’ai fait une bonne sieste. Je me suis réveillé juste à temps pour manger et aller voir un film à l’Utopia, un cinéma du genre cinéma parallèle. Le film ? Le roi de l’évasion du réalisateur que je ne connais pas et des acteurs que je n’ai jamais entendu parler. Au moins, c’est un film français! Disons que j’aurais mieux fait de rester couché! C’est l’histoire d’Armand, un vendeur de tracteur à Albi, 43 ans, homosexuel, qui rencontre un groupe de 4 jeunes qui tripotent une jeune fille de 16 ans qui ne veut pas. Armand, qui doit peser environ 300 livres intervient mais les jeunes au lieu de partir en courant se mettent à le défier. Armand ira jusqu’au guichet automatique afin de retirer de l’argent pour « acheter » la paix. La jeune fille reconnaissante se jette dans les bras d’Armand qui la repousse un peu mollement. Il ramène la jeune fille chez ses parents dont le père est qui d’autre que le vendeur de tracteur d’une autre marque. Mais la jeune fille donne rendez-vous à Armand pour qu’il vienne la rejoindre à la sortie de l’école. Bon je t’en dis pas plus, mais si on se fie à ce film, tous les agriculteurs célibataires dans la quarantaine sont homosexuels, une jeune fille de 16 ans peut se jeter dans les bras d’un homme de 43 ans et il est normal qu’un homme de 43 ans couche avec une fille de 16 ans sans être un pédophile. Bref un film à vomir.
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Après le film, direction mon hôtel – toujours en vélo – et dodo. Je me suis réveillé à 3h00 du matin, incapable de me rendormir. J’ai regardé la télé et j’ai vu un épisode de Secret Story, la version française de Loft story. J’espérais bien me rendormir en écoutant ça, ben non! En passant c’est drôle car il y a une participante québécoise dans le loft et le « but du jeu » c’est que les participants trouvent le secret des autres lofteurs. François-Xavier (FX pour les habitués), un noir, fendant, homosexuel qui s’ignore, pense avoir trouvé le secret de la québécoise. Cet imbécile en puissance croit qu’il s’agit d’une transsexuelle. Quel con cet abruti! Si elle est transsexuelle, moi je suis le prochain pape! Finalement je me suis rendormi vers 7h00 et je me suis fait réveiller vers 10h15 par la femme de chambre qui a cogné à la porte pour me dire qu’il fallait que je quitte la chambre pour 11h00.
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En quittant l’hôtel, j’ai déposé ma valise à la gare et comme mon train n’était qu’à 17h00, j’en ai profité pour me rendre dans le centre-ville – toujours en vélo, est-ce que je te l’ai dit que c’est génial ce concept? – et j’ai fait les boutiques de DVD. Je suis fier de moi car je n’ai rien acheté…
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À suivre...
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